EFFETS SECONDAIRES
Une grande proportion de patients développe des anticorps anti-GRF au moins une fois pendant le traitement par Sermorelin. La signification de ces anticorps n’est pas claire et souvent un test positif lors d’une évaluation de la croissance devient négatif lors de l’évaluation suivante. La présence d’anticorps ne semble pas affecter la croissance ni être liée à un profil spécifique de réactions indésirables. Aucune réaction allergique généralisée à Sermorelin n’a été rapportée.
L’effet indésirable le plus fréquent lié au traitement (survenant chez environ 1 patient sur 6) est une réaction locale à l’injection caractérisée par une douleur, un gonflement ou une rougeur. Sur 350 patients exposés à la Sermoréline lors des essais cliniques, trois ont interrompu le traitement en raison de réactions à l’injection. Les autres effets indésirables liés au traitement ont eu des taux d’occurrence individuels inférieurs à 1 % et comprennent : maux de tête, bouffées vasomotrices, dysphagie, vertiges, hyperactivité, somnolence et urticaire.
Lorsqu’elle est administrée par voie intraveineuse à des fins diagnostiques, les effets indésirables suivants ont été notés : bouffées vasomotrices du visage, douleur, rougeur et/ou gonflement au site d’injection, nausées, maux de tête, vomissements, dysgueusie, pâleur et oppression thoracique.
Abus de drogue et dépendance
La pharmacologie clinique suggère qu’il est très peu probable que la Sermoréline soit associée à un abus de drogue ou à une dépendance et aucun rapport à ce sujet n’a été fait dans le cadre d’essais cliniques.
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