Top 10 des faits sur les planètes extrêmes

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Étrange, Mais vrai – Notre système solaire

IAU/Martin Kornmesser

Les mondes qui entourent notre soleil vont de petits morceaux de roche sans vie à de gargantuesques globes de gaz. Les frères et sœurs de notre planète ont chacun leurs caractéristiques extrêmes et leurs phénomènes fous. — Charles Q. Choi

L’air de la Terre

NASA

Il peut sembler un peu nombriliste de souligner à quel point la Terre est spéciale – après tout, nous vivons ici. Bien que la Terre soit recouverte d’océans d’eau, Mars aurait également pu abriter des mers. Mais nulle part ailleurs dans le système solaire on ne trouve d’atmosphères chargées en oxygène libre, ce qui s’est finalement avéré vital pour l’une des autres caractéristiques uniques de la Terre : nous.

La grande tache rouge de Jupiter

NASA/ESA/A. Simon-Miller (NASA Goddard Space Flight Center)

L’élément le plus extraordinaire à la surface de Jupiter est sans aucun doute la Grande Tache Rouge, une tempête géante observée depuis plus de 300 ans. Dans son diamètre le plus large, la Grande Tache Rouge est environ trois fois plus large que la Terre. De temps à autre, la tache s’estompe entièrement.

L’hexagone de Saturne

NASA/JPL/Space Science Institute

Saturne est peut-être plus célèbre pour ses anneaux spectaculaires, mais Jupiter, Uranus et Neptune ont aussi des anneaux. Cependant, rien de tel que l’hexagone géant qui entoure le pôle nord de Saturne n’a jamais été observé sur une autre planète. Chacun de ses côtés fait près de 12 500 kilomètres de large, ce qui est suffisant pour contenir près de quatre Terriens. Les images thermiques montrent qu’il s’enfonce à environ 100 kilomètres dans l’atmosphère de la planète. Les scientifiques ont émis plusieurs autres idées concernant l’origine de l’hexagone. L’une d’entre elles est que l’hexagone résulte d’une interaction complexe entre les ondes ondulant dans l’atmosphère et les gaz barattés.

Les tempêtes de Mars

NASA/JPL-Caltech/Malin Space Science Systems

Les tempêtes de poussière de Mars sont les plus importantes du système solaire, capables de recouvrir toute la planète rouge et de durer des mois. Une théorie expliquant pourquoi les tempêtes de poussière peuvent prendre une telle ampleur sur Mars part du principe que les particules de poussière en suspension dans l’air absorbent la lumière du soleil, ce qui réchauffe l’atmosphère martienne dans leur voisinage. Les poches d’air chaud s’écoulent vers les régions plus froides, générant des vents. Les vents forts soulèvent davantage de poussière du sol, ce qui réchauffe à son tour l’atmosphère, soulevant davantage de vent et soulevant davantage de poussière.

Les anneaux de Saturne

NASA/JPL

Saturne est surtout connue pour ses anneaux spectaculaires. L’un des anneaux, trop faible pour être vu de la Terre et découvert seulement en 2009, mesure au moins 200 fois le diamètre de la planète – un milliard de Terriens pourraient tenir à l’intérieur de l’anneau.

Les vents de Neptune

NASA/JPL

Sur Neptune, on peut trouver des vents de type jet stream voyageant à plus de 1 500 mph. Le mystère demeure quant à savoir comment elle obtient l’énergie nécessaire pour faire tourner les vents planétaires les plus rapides observés dans le système solaire, alors qu’elle est si loin du soleil – parfois plus loin que Pluton – et que sa chaleur interne est relativement faible.

L’inclinaison bizarre d’Uranus

NASA et Erich Karkoschka, U. d’Arizona

À la différence des autres mondes, Uranus est tellement inclinée qu’elle tourne essentiellement autour du soleil sur le côté, l’axe de sa rotation pointant presque vers l’étoile. De nombreux astronomes pensent que cette orientation inhabituelle pourrait être due à une collision avec une planète de taille terrestre peu après sa formation.

Les hauts et les bas de Mars

NASA/JPL

La planète rouge abrite à la fois la plus haute montagne et la vallée la plus profonde et la plus longue du système solaire. Olympus Mons mesure environ 27 kilomètres de haut, soit trois fois plus que le mont Everest, tandis que la Valles Marineris peut atteindre 8 à 10 kilomètres de profondeur à certains endroits et s’étend sur environ 4 000 kilomètres, ce qui correspond à la largeur de l’Australie ou à la distance entre Philadelphie et San Diego.

Les écarts de température sauvages de Mercure

NASA/Johns Hopkins University Applied Physics Laboratory/Carnegie Institution of Washington

En tant que planète la plus proche du soleil, la surface de Mercure peut atteindre une température torride de 840 degrés F (450 degrés C). Cependant, comme ce monde n’a pas assez d’atmosphère pour piéger toute chaleur, la nuit, les températures peuvent chuter à -275 degrés F (-170 degrés C), un écart de température de plus de 1 100 degrés F qui est le plus important du système solaire.

La surface foudroyante de Vénus

NASA

Bien que Vénus ne soit que la deuxième planète la plus proche du soleil, son atmosphère dense et toxique piège la chaleur dans une version emballement de l’effet de serre qui réchauffe la Terre. En conséquence, les températures sur Vénus atteignent 870 degrés F (465 degrés C), plus que suffisamment chaudes pour faire fondre le plomb.

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