Le vol en ULM représente l’une des façons les plus rapides et les plus pures de goûter aux joies de l’aviation. Des parachutes motorisés et des trikes aux ailes fixes traditionnelles et même aux amphibies et aux giravions, les ultralégers sont amusants, excitants et, dans la plupart des cas, remarquablement abordables. Voler en ULM n’est pas un pas en avant ou en arrière, mais un pas dans un secteur complètement différent et passionnant de la communauté des pilotes.
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Aux États-Unis, voler en ULM ne nécessite pas de licence ou de certificat médical d’aucune sorte, à condition que l’appareil réponde à la réglementation fédérale de l’aviation appelée Partie 103. La partie 103 définit un ultraléger comme un aéronef qui répond aux critères suivants :
Sièges |
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Max. Poids à vide (avion motorisé) |
254 lbs |
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Max. Poids à vide (avion non motorisé) |
155 lbs |
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Capacité maximale en carburant |
. Capacité de carburant |
5 gallons |
Vitesse max. Vitesse à pleine puissance |
55 nœuds |
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Vitesse maximale en décrochage (hors tension) . Vitesse de décrochage (hors tension) |
24 nœuds |
Si l’aéronef comporte plus d’une place ou dépasse l’un des critères ci-dessus, ce n’est pas un ULM, et donc pas éligible à l’exploitation selon la partie 103.
Ce sont les règles légales selon lesquelles nous volons ; elles sont les plus clémentes au monde. Ces privilèges impliquent toutefois des responsabilités : bien qu’il n’y ait pas d’exigences légales spécifiques, les pilotes d’ULM doivent être formés comme n’importe quel autre pilote.
Les pilotes d’ULM doivent être formés comme n’importe quel autre pilote.